Si bien partis ?
Deux trois mots pour dire que je n’ai pas vu l’OL dans son périple hongrois.
Naturellement, planter 4 buts en poule de Champion’s, cela reste du domaine du plutôt bien joué.
Cependant, si le plein de Benco et de points est fait, j’ai quand même une grosse réserve.
La victoire contre Florence fut consécutive à un « fait de jeu », ou plutôt d’un homme, Gilardino, naïf comme un français quand il s’est agi de laisser traîner son coude.
Du coup, la victoire initiale à Gerland, j’y planterais bien à la fin comme au début des guillemets.
Dès lors, le double choc contre les Reds, dominateurs mais stériles contre la Viola, va être décisif.
Et comme les clubs anglais ont pris un malin plaisir à sauter à pied joint sur la carotide des pauvres petits pensionnaires de Ligue 1 depuis quelques saisons (remembre Bordeaux y perdant son tanin à Stamford l’an dernier),
et comme la défense lyonnaise, genre infirmerie de Verdun, commence à sentir le papier crépon,
je dis comme Jean-Claude Narcy que la France a peur.
Et qu’elle a raison de trembler pour ses petits gones in the hell of Anfield.