l'Histoire sans fin
J'avoue avoir laissé un peu trop parler mes bas instincts de vieux fan, espérant voir Grant Hill et Vince Carter croiser le fer dans un final où les anciens looseurs patentés de la league auraient tiré à la courte paille pour savoir qui laisserait son armure de guignard.
Las, les Lakers et les Celtics en ont décidé autrement.
Orlando a oublié de démarer à temps, laissanst les verts planter leurs tente et parasols, et dieu sait qu'il est difficile de se débarasser des campings sauvages, dubosciens ou non.
Pour ce qui est de LA, les Suns n'étaient pas si loins du compte, mais la petite distance les séparant d'une finale est d'ordre tectonique, elle procède du tremblement de terre permanent qu'est Kobe, brillant ou non.
La finale commence, et oh surprise, les bostoniens, prompts à avancer leur rugosité, découvre que les angelinos ne sont pas des guimauves, et que la fièvre jaune sera difficile à combattre, dans la raquette ou ailleurs.
La solution : selon moi, le Sheed Wallace peut apporter quelquechose, encore faut-il qu'il se réveille.