6 juillet 2009
Ode à Andy Roddick
Eh bien oui, je l’avoue, ce foutu frappeur, je l’ai trouvé grand, dans sa finale de dimanche contre Federer. De la première balle à la cérémonie, infusion d’émotions avec un zeste d’humour bien placé. Service (quasi)imprenable, jeu simple, pas con, direct,...