En vert et contre tous

Les sinusoïdes de la finale NBA continuent de se perpétuer,
et c'est Boston qui a craqué au Staples Center.

J'ai peu de choses à écrire sur ce choc finalement monocorde,
où chacun a gagné chez lui histoire que les vaches soient bien gardées.

Les angelinos devraient donc tranquillement rouler vers une nouvelle victoire,
face à des hommes de l'Est privés de Perkins,
homme aussi important dans la peinture que peut l'être Anthony devant le rideau de douche..

Mais je ne peux m'empêcher de psalmodier, prier et y croire vert.

Les Celtics ont le temps qui jouent contre eux, les années qui s'écoulent envoyant un peu plus leur effectif vers la préretraite avant 60 ou 62 ans.

Mis à part ce jeune effronté de Rondo, qui m'a bien claqué mon beignet pendant ses playoffs,
moi qui voyais en lui un profiteur de Allstars (qu'il est peut-être, mais bon, là n'est pas le débat).

Paul Pierce, the Truth, me fera-t-il plaisir en sortant le match de sa vie,
lui le natif de LA, pour ajouter un peu de dorure au livre écrit par le Big Ticket de Boston ?

A Doc Rivers, coach très honnête mais loin du génie jacksonien,
de trouver la clé, pour fermer la porte au duo Bynum/Gasol (Bryant étant passé en pertes et profits)
et repartir avec la joaillerie promise aux champions.

Comments

[Charles]

Comme quoi, on peut être réputé pour la qualité de sa défense et apporter offensivement... !

[ramon]

bon, ben une fois de plus,
Phil Jackson a bien recruté,
c'est le dernier arrivant qui a fait la différence, Crazy Ron a tué les Celtics...
Putain
mais on aurait pas pu, nous, le sélectionner à la place de Ricky Jokemachine Abidal ?